Lettre TBM n°29 —
Analyse au vol
Les malheurs de l’un ne font pas le bonheur de l’autre
+
C’est une question que les experts d’ID Aero entendent souvent dans notre milieu aéronautique : dans un secteur dominé par seulement deux acteurs comme les avions civils de plus de 100 places, comment se fait-il que les graves malheurs d’un des deux, l’américain Boeing, ne profitent pas davantage à son grand rival, l’Européen Airbus ?
La question est intéressante, et pas seulement pour les actionnaires des deux entreprises.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour pouvoir consulter ce contenu, vous devez vous abonner ou vous connecter :